Je ne suis pas sûre que ça a sa place ici vu que ce n'est pas une fanfiction mais une fiction '-' alors dans le doute je l'ai mise ici? Si ça gêne enlevez le '-'
Comme le titre ne l'indique pas il n'y aura jamais l'apparition d'un quelconque vampire. J'ai un peu honte de poster cela mais il faut bien se lancer un jour non? Si vous avez des conseils pour m'améliorer (même si y'a que des défauts à dire sur mes écrits) je prends ^-^
Cette histoire sera normalement assez courte (donc pas de chapitres...je crois '-' )
Les deux personnages principaux sont de moi (et trop clichés).
Enjoy! Je suppose?
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« A l'Aurore, la porte du trésor perdus s'ouvrira sur la Valachie. »
Tels étaient les mots sur l'ancien parchemin jaunis par le temps et mangé par des mites que venait d'obtenir Azel par un amis historien travaillant dans la même faculté qu'elle. Elle était professeur d'histoire spécialisée dans le Moyen-Age à travers le monde, ce sujet passionnant concentrant tout son temps libres et son mince budget de recherches.En elle même cette femme dans la trentaine sortie diplômée de ses études n'avait rien d'extraordinaire si ce n'étaient ses yeux. Ses yeux bleus suffisamment sombres pour paraître aussi noirs que ses longs cheveux retenus par un ruban de satin blanc en queue de cheval haute.
L'historienne observa longuement le rouleau cherchant un sens caché, plus d'indices,même sur le rouleau de bois...Car l'aurore a lieu tout les jours, alors est-ce un moment particulier de l'année ? Peut-être les nuits de la Saint-Jean ? Après tout cette région était toujours liée à la croyance des vampires et à la légende même du Comte Dracula bien que le véritable Comte était réputé très cruel lui aussi mais sans preuves concrètes comment savoir ? Ce fut sur ces pensées que mademoiselle Cagus se décida à aller voir d'elle-même ce que pouvait bien être ce « trésor ».
Quelques jours plus tard, elle posais finalement les pieds en Transylvanie, là où lors du quinzième siècle s'étendait une partie de la Valachie. La jeune femme regardait autour d'elle les bâtiments récents qui semblaient écraser les plus anciens de la ville de Sighisoara dont la partie menant aux monts entourant la citadelle de Poienari avait gardée tout ses traits médiévaux pour le tourisme. L'historienne se sentait particulièrement dans son élément en ces lieux pour qui la chasse aux trésors n'était rien de plus qu'une excuse pour découvrir de nouveaux lieux historiques et en apprendre plus sur l'un des plus grands mythes.
Elle n'était d'ailleurs pas seule, accompagnée par un ami fidèle, prêtre, du nom d'Ethan Helmarit qui faisait partis d'une caste connue pour se battre contre les forces démoniaques. Cet homme pourtant très croyants n'y croyait pas à l'existence de ces choses décrites dans les livres sacrés, et cela durerait temps qu'il n'en aurait pas croisé une seule. Mais par sûreté il préfera tout de même faire une prière en sortant ses armes consacrées, sait -on jamais ?
Les deux acolytes décidèrent de passer la nuit à La Couronne d'Or lieu où passa Jonathan Harker dans le plus que célèbre roman de Bram Stocker.
A la nuit tombée Azel s'était installée devant l'établissement pour observer le paysage. Au loin la citadelle se détachait sur le ciel de pleine lune, la scène semblait irréelle et magique...Pourtant....Une éclat lumineux provenant de l'une des plus hautes tours attira son attention. Le château était inhabité pourtant n'est-ce pas ? Cela acheva d'aiguiser la curiosité de l'historienne qui voulait absolument aller voir le château le lendemain malgré l'inquiétude des anciens de la villes qui disaient que les vampires rodaient toujours et qu'ils reviendraient pour sur lors des nuits de la Saint Jean. C'est sur cet « événement » qui n'était peut-être que dû au fait des rondes d'un gardien qu'elle alla finalement tenter de trouver un peu de repos. Le soleil vint lui chatouiller le visage au matin alors que le réveil fut fournis par Ethan qui ne se gêna absolument pas pour lui enlever toutes les couvertures en lui disant de se lever rapidement pour ne pas rater le transport qui était fait par une calèche comme dans le roman, toujours pour les touristes.
Les paysages défilant devant les yeux des voyageurs jusqu'au château avaient quelque chose de mystérieux, les discussions allaient bon train sur la légende, sur la véritable histoire, etc.